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Dans ces questions à choix multiples, une seule réponse est vraie :
1 : Dans le cas d’un atterrissage forcé, la préparation de la cabine et des passagers incombe:
A. à un membre de l’équipage de cabine désigné par le Chef de Cabine.
B. au Commandant de Bord.
C. au Chef de Cabine.
D. à l’Officier Pilote.
2 : Dans le cas du refroidissement du corps humain au dessous de 37°C, les signes prémonitoires de la mort apparaissent environ à:
A. 20°C.
B. 30°C.
C. 24°C.
D. 34°C.
3 : Dans un canot de sauvetage, on peut trouver en équipement requis :
A. 2 litres d’eau potable.
B. 2 litres d’eau potable par fraction de 50 personnes.
C. 500 ml d’eau potable par fraction de 10 personnes.
D. un couteau.
4 : Des équipements de signalisation pyrotechnique et au moins un émetteur de localisation d’urgence de survie sont réglementairement nécessaires pour tous les vols :
A. Au dessus des régions ne nécessitant pas le dépôt d’un plan de vol avant le départ.
B. Au dessus de régions où les opérations de recherches et de sauvetage seraient particulièrement difficiles.
C. De plus de deux heures.
D. Prolongés au dessus de l’eau, de nuit uniquement.
5 : Devant effectuer un survol de régions terrestres inhabitées, un équipage décide de consulter la composition du lot de survie. Il peut trouver cette composition dans:
A. les documents de certification de l’avion.
B. les conditions d’utilisation des avions exploités par une entreprise de transport aérien.
C. la liste minimale d’équipement.
D. le manuel d’exploitation.
6 : En cas d’amerrissage forcé d’un avion, la ligne qui sépare la partie immergée de la partie émergée est appelée ligne :
A. des centres de gravité de l’avion.
B. de survie de l’avion.
C. de rupture possible de l’avion.
D. de flottaison de l’avion.
7 : En cas d’amerrissage forcé non prévu, les gilets de sauvetage des passagers adultes devront être gonflés:
A. dès que l’avion est immobilisé sur l’eau et les issues ouvertes.
B. à la sortie de la cabine.
C. dès que l’ordre d’évacuation de la cabine est donné par l’équipage de conduite.
D. une fois les gilets endossés.
8 : En cas de nécessité, le centre de Coordination et de Sauvetage est informé par l’intermédiaire:
A. des services « accidents » responsables de la région aérienne concernée par l’accident.
B. de la cellule de crise de la compagnie aérienne.
C. de la cellule « DETRESFA » du ministère des transports seule habilité à déclencher des recherches.
D. des services de la circulation aérienne (CCR ou CIV).
9 : En cas de survie en région polaire, on peut faire fondre de la glace pour combattre la déshydratation. La glace d’eau douce est reconnaissable à une coloration caractéristique :
A. Claire avec des reflets verts.
B. Blanche ou bleutée.
C. Jaune clair.
D. Opaque avec des reflets irisés.
10 : En cas de survie en région polaire, pour combattre la déshydratation, il est important de savoir reconnaître les différents types de glace. La glace qui a une couleur claire avec des reflets verts est de la glace:
A. d’eau de mer.
B. d’eau douce.
C. en cours de fonte.
D. polluée.
11 : En cas de survie maritime, les rescapés peuvent boire en toute dernière ressource :
A. Moins d’un demi-litre d’eau de mer par jour pendant 3 à 4 jours.
B. Deux litres d’eau de mer par jour pendant 8 jours.
C. Moins d’un demi-litre d’eau de mer toutes les deux heures pendant 3 à 4 jours.
D. Un litre d’eau de mer uniquement après le coucher du soleil.
12 : En cas de survie polaire, on peut faire fondre de la glace pour combattre la déshydratation. La glace d’eau douce est reconnaissable à une coloration caractéristique:
A. blanche ou bleutée.
B. claire avec des reflets verts.
C. jaune clair.
D. opaque avec des reflets verts.
13 : En cas de survol polaire, les équipements ci-après doivent être emportés :
A. des rations de survie pour chaque groupe de 50 personnes à bord et une trousse médicale supplémentaire.
B. du matériel de chasse, de pêche et des protections thermiques pour les 3/4 des passagers à bord.
C. un dispositif permettant de faire fondre la neige et une combinaison polaire pour chaque membre d’équipage.
D. 3 litres d’eau potable pour chaque groupe de 50 personnes à bord et un ensemble de protection thermique pour le tiers des occupants.
14 : En début de survie maritime, il est nécessaire de faire face à la déshydratation des naufragés en : n1 – rationnant les réserves récupérées n2 – buvant de petites quantités d’eau de mer n3 – limitant la sudation des naufragés n4 – recueillant de l’eau de condensation ou de l’eau de pluie
A. 1 – 3 – 4.
B. 1 – 2 – 3.
C. 1 – 2.
D. 2 – 3.
15 : En France, après un accident d’avion loin de l’aéroport, l’organisme qui donne l’alerte est:
A. La DGAC (Direction Générale de l’Aviation Civile).
B. Le CCR (Centre de Contrôle Régional) ou le CIV (Centre d’Information en Vol).
C. Le CIV (Centre d’Information en Vol).
D. Le FIR (Région d’Information de Vol).
16 : En région inhabitée chaude et sèche, dans le désert (température 38°C en moyenne) l’espérance de vie d’un rescapé actif, n’ayant plus d’eau à sa disposition est d’environ:
A. 12 heures.
B. 20 heures.
C. 2 heures.
D. 6 heures.
17 : En règle générale, en situation de survie, si le corps est normalement hydraté, l’organisme peut supporter le jeûne pendant:
A. Deux à trois semaines.
B. Huit jours.
C. Quarante-huit heures.
D. Quatre-vingt seize heures.
18 : En situation de survie dans une zone forestière, il est fortement recommandé de rallier une clairière pour :
A. protéger les naufragés contre les animaux.
B. protéger les naufragés contre la chaleur.
C. pouvoir récupérer l’eau des cours d’eau.
D. pouvoir utiliser tous les moyens de signalisation.
19 : En situation de survie en forêt équatoriale, les membres d’équipage et les passagers survivants doivent, si possible, s’efforcer de : . 1 – rallier une clairière n2 – mettre en place des bandes sol-air près de l’épave n3 – allumer un feu très dense afin d’être repéré par la fumée n4 – suivre un cours d’eau dans le sens du courant pour essayer de sortir de la forêt n5 – rester impérativement sous les arbres près de l’épave . Choisissez la combinaison de propositions, exacte :
A. 3 – 5.
B. 2 – 5.
C. 2 – 3.
D. 38047
20 : En situation de survie en région chaude désertique, si l’insuffisance de vivres ne permet pas la prise de plus d’un repas par jour, celui-ci doit être pris:
A. Au milieu de la journée.
B. Après avoir fait la sieste.
C. A l’aube.
D. Après le coucher du soleil.